Then to close this successful evening, the French choreographer Rubén Julliard traces My Way, a piece on his own compositions and that of Frank Sinatra (My Way, therefore), for the ten classical dancers; very cathartic, full of positions and figures more classic than contemporary this time, showing the dexterity of these handles, who there are much fewer on stage, but excellent just as much or more in reduced committee. We will not say more. these last two pieces very rich in eloquence of the body speak directly to the soul and brew many references. Breathtaking from start to finish, these young dancers will go far, for sure!

Puis pour clore cette soirée réussie haut la main, le chorégraphe français  trace My Way, une pièce sur ses propres compositions et celle de Frank Sinatra (My Way, donc), pour les dix danseurs classiques ; très cathartique, truffée de positions et figures plus classiques que contemporaines cette fois, montrant la dextérité de ces anseurs, qui là sont bien moins nombreux sur scène, mais excellents tout autant voire plus en comité réduit. Nous n’en dirons pas plus. ces deux dernières pièces très riches en éloquence du corps parlent directement à l’âme et brassent beaucoup de références. Époustouflants du début à la fin, ces jeunes danseurs iront loin, c’est certain !

https://www.resmusica.com/2023/06/22

AMADE « Rubén Julliard s’est laissé tenter par une pièce narrative mettant en scène les soeurs Weber, les quatre filles du musicien Fridolin Weber, et parmi elles Constance qui devint l’épouse  chérie du compositeur. D’inspiration néo-classique, le chorégraphe ose les pointes pour les quatre danseuses et offre un ballet onirique et charmant. »
 
« Rubén Julliard was tempted by a narrative piece featuring the Weber sisters, the four daughters of musician Fridolin Weber, and among them Constance who became the composer’s beloved wife. Of neo-classical inspiration, the choreographer dares pointe shoes for the four dancers and offers a dreamlike and charming ballet. »

Danser avec la plume

Ecrit par Jean-Frédéric Saumont 

20 décembre 2020

Gran Partita « La soirée s’achève avec Mouvement VII, du Français Rubén Julliard, qui a déjà chorégraphié Amadé pour la soirée Danser Mozart au XXI siècle en 2020. Olivier Oguma et Roy Shimizu rivalisent d’élégance dans le finale de cette Gran Partita pétillante. Un duo qui est aussi un hymne à l’amitié. »

« The evening ends with Mouvement VII, by Frenchman Rubén Julliard, who has already choreographed Amadé for the Danser Mozart au XXIᵉ siècle evening in 2020. Olivier Oguma and Roy Shimizu compete in elegance in the finale of this sparkling Gran Partita. A duo that is also a hymn to friendship. »

ResMusica
Écrit par Delphine Goater
Le 11 mars 2021

Outcast: « Only the fourth piece, Julliard’s Outcast, provided more diverse pacing, giving the dancers space to express emotion. »

ARTSCALT
Écrit par Gillian Anne Renault
Le 13 juillet 2021

What if: « La force de l’atelier chorégraphique est de faire l’expérience des différentes écritures de l’ensemble. Ce soir, il montre la couleur de mouvement la plus décontractée. Avec la grande question «Et si?», Julliard déplore l’indifférence au réchauffement climatique et à la fin du monde – un vaste champ.

Mais devant un mur d’égoïsme, il montre une chorégraphie brillante sur l’hédonisme collectif. De la compagnie, qui danse généralement étroitement et brillamment ensemble, parfois un individu, parfois un groupe plus petit, éclate puis revient dans «cool» Revenez membre. Chorégraphiquement, il utilise le style de danse des discothèques, du pardon, des clubs, mais non sans l’élever astucieusement au zeitgeist visible: une fin forte à une danse variée qui a été accueillie par de longs applaudissements. »

« The strength of the choreographic workshop is to experience the different writings of the ensemble. Tonight, he shows the most casual motion color. With the big question “What if?”, Julliard laments the indifference to global warming and the end of the world  a vast field.

But in front of a wall of selfishness, he shows a brilliant choreography on collective hedonism. From the company, which usually dances tightly and brilliantly together, sometimes an individual, sometimes a smaller group, bursts out and then comes back into “cool” Come back member. Choreographically, it uses the dance style of discos, forgiveness, clubs, but not without artfully elevating it to the visible zeitgeist: a strong ending to a varied dance that was greeted with long applause. »

www.morgenweb.de
Écrit par Ralf-Carl Langhals
Le 12 juillet 2019